Vernissage : 18 février à partir de 18h30
Permanences des artistes :
Sandrine Bies (Sanie) : 19 Février, 3 Mars
Dahmane Kacem :
Collela Carole : 18, 22 Février

Sandrine BIES (Sanie)
Depuis 2019, mon travail s’oriente essentiellement sur l’humain et plus récemment sur les portraits d’enfants ou de personnes âgées. Les uns pour l’innocence, la spontanéité, l’expérimentation de la vie, les autres pour le vécu, l’expérience, la sagesse. J’aime à déceler l’émotion derrière un regard, l’expression d’un instant, m’interroger sur la nature des sentiments humains. Le choix de peindre en noir et blanc me permet de privilégier les volumes grâce à l’ombre et la lumière, d’aller à l’essentiel, véritable parallèle avec ce que l’humain porte en lui, une part de clarté et d’obscurité.

Kacem DAHMANE
Ses portraits, ses paysages, ses aquarelles sont empreints de lumière colorée avec grande délicatesse. Touche-à-tout autodidacte, curieux de tout, passionnant et passionné, cultivé et féru d’Art avec un grand A (peintures, dessins, écrits, musiques), Kacem maitrise différents styles, différents médiums : aquarelle, acrylique, pastel, crayons, encres et bien plus ! Il sait saisir l’essence profonde des personnes connues ou anonymes et elles ont droit au même traitement. Il s’intéresse également aux bâtiments, paysages, animaux et mondes imaginaires ! Kacem expose régulièrement avec l’association « La Garonne expose », qui a fêté ses 20 ans en 2021, les dimanches et jours fériés place de la Daurade à Toulouse. Contact : dkfeine@orange.fr

Carole COLLELA
Franco-Italienne née au Canada le 25 Août 1966, je vis actuellement à Toulouse et dans le Gers. Je travaille principalement le fer. J’utilise des plaques et des barres que je découpe, mets en forme et soude. Éclectique dans le choix des thèmes je travaille le plus souvent par séries. La Nature, cette incontournable Artiste, m’inspire par ses formes, ses rythmes, ses ambiances, ses forces titanesques et celles infiniment subtiles du monde vivant. Quant aux influences… il faudrait des pages ! Je laisse la chose à l’œil qui regarde.