Aujourd’hui, Ascension Martinez, responsable artistique, présente à travers l’Association Adage, 2 artistes amies, d’où le titre « Entre deux » :* MAGALI NÈGRE : Native de Saint-Amans Soult, j’ai suivi des études dans la communication en qualité de graphiste. Ma carrière professionnelle a débuté en agence et aujourd’hui je travaille dans une entreprise où j’ai en charge toute la conception graphique.Depuis toujours attirée par l’image, le dessin, la photo, c’est tout naturellement que j’ai commencé la peinture. Sans prétention, c’est avant tout un espace de liberté qui me permet de m’évader et de créer sans contraintes les visions de mon imaginaire. Jouantsur plusieurs niveaux de lecture, mes tableaux offrent une vision très personnelle du monde actuel et de ses acteurs.* MONIQUE JULIÉ : Originaire de Mazamet, je dessine depuis toujours, je peins surtout depuis que j’ai arrêté de travailler. Pas de plan de carrière, juste garder toujours le plaisir de créer et le besoin d’évoluer. Prendre le réel, l’interroger, le faire sien, le dépasser, le transformer dans une démarche de création ; quelles que soient les techniques, j’ai toujours eu besoin de créer.Après quelques cours de dessin, peinture ( J.Claramunt, Reine Benzaken ), et un diplôme national supérieur d’expression plastique ( DNSEP) aux Beaux-Arts de Toulouse, section Design d’Espace, j’ai travaillé dans l’architecture intérieure, le dessinde prototype de mobiliers, la communication, le graphisme, le stylisme, le packaging, le végétal… toujours dans le domaine de la conception et des arts appliqués mais avec beaucoup de contraintes techniques et logistiques.Avec un retour à Mazamet, ma ville natale, reprise des cours de dessin et peinture avec Florence Keller et Catherine Huppey pour réveiller les vieux démons…et ouvrir de nouveaux horizons…Plus aucune limite matérielle, une richesse de moyens d’expressionillimitée, une liberté exaltante, une pléthore de possibles chemins à prendre. Pour partir à la recherche de cette force, de cette émotion, de cet état de grâce, de ce moment où on se projette sur la toile, avec des passages obligés d’interrogations, de doutes,d’échecs. Puis, garder toujours ce désir permanent de recherche, un tableau en appelant un autre.