Chargement de la vue.
- Aucun résultat trouvé.
- Aucun résultat trouvé.
- Évènements
- Musée d’Art et d’Histoire d’Orange
Musée d'Art et d'Histoire d'Orange
Hôtel - rue Madeleine Roch,
84100
Orange
- France
Recevoir l’Itinéraire à suivre
04 90 51 17 60
Thématiques principales :
Archéologie ; Arts décoratifs ; Beaux-Arts ; Histoire ; Technique et industrie
Thèmes des collections :
Antiquités étrangères : Grecques et romaines ; Archéologie nationale : Préhistoire, Protohistoire, Gallo-romain, Paléo-chrétien, Médiéval, Moderne ; Architecture et urbanisme (Maquettes) ; Art religieux (Mobilier d'églises d'Orange) ; Arts décoratifs : Céramique, Mobilier, Orfèvrerie, Verrerie ; Arts du spectacle : Théâtre et Opéra ; Beaux-Arts : Dessin, Peinture ; Collections militaires : Armes ; Ethnologie : Costume ; Histoire : Histoire locale et régionale
Historique des collections :
En 1819 se constitua une société d'agriculture, des sciences et des arts de l'arrondissement d'Orange, dont une des figures les plus marquantes fut le baron de Stassart, sous-préfet d'Orange. Outre les livres anciens et les archives qu'elle sauva, cette société accumula un véritable capharnaüm d'objets, microcosme des connaissances humaines. Cette collection fut à l'origine des archives, de la bibliothèque et du musée de la ville. L'attention portée au passé orangeois excita la convoitise de certains qui pillèrent les nécropoles de la ville et des sites gallo-romains. Ils s'approprièrent alors les découverte fortuites, rachetées par des amateurs (Roger Vallentin du Cheylard, Raspail, Charras, Digonnet, Lombart-Dumas) ou même par des musées, qui enrichirent ainsi leurs collections (musée des Antiquités nationales, musée Calvet d'Avignon, musées archéologiques de Nîmes et de Genève, British Museum). Un archéologue lyonnais, François Artaud, tenta d'arrêter cette hémorragie du patrimoine. Il légua sa maison et ses collections à la municipalité afin d'en constituer un musée. Mais ses collections furent dispersée. En 1933, la ville d'Orange consacra deux salles à son passé prestigieux, dans l'hôtel de Drevon. Rassemblant des collections fragmentaires, ce musée s'enrichit de la donation Belleroche (1940 et 1957), des cadastres romains (1950), de la collection Gasparin et des toiles des Wetter (1965), de la collection Margaillan, de la pharmacie de l'hôpital d'Orange et d'une collection d'art sacré depuis 1979.
Atouts majeurs :
Les collections archéologiques proviennent de multiples fouilles d'Orange : à côté d'objets de la vie quotidienne, la pièce la plus intéressante est représentée par trois cadastres gravés sur marbre sur ordre de l'empereur Vespasien qui révèlent l'organisation foncière de la colonie antique. De nombreux fragments architecturaux et de statuaires proviennent du décor du mur de scène du théâtre, entre autre un ensemble exceptionnel de frises
Du Moyen Age au XVIIe siècle, est évoqué le passé de la principauté d'Orange étroitement lié à la famille royale des Pays Bas
Cinq peintures représentent la vie d'une fabrique d'indiennes au XVIIe. Commandées en 1764 par les frères Wetter, patrons de la fabrique, à GM Rossetti, elles décoraient le salon de leur demeure
Le XIXe est illustré par des gravures montrant le dégagement et la restauration du théâtre et de l'arc et par la collection Gasparin, famille orangeoise dont furent issus plusieurs hommes politiques
Fonds de peintures de Franck Brangwyn et d'Albert de Belleroche
Artistes :
F. Brangwyn, A. de Belleroche
Services :
Bibliothèque ou centre de documentation ouvert au public ; photothèque
Activités culturelles :
Visites guidées : générales, thématiques, enfants, en langues étrangères
Accueil des scolaires : visites, ateliers, classes culturelles
Crédits : Museofile
Archéologie ; Arts décoratifs ; Beaux-Arts ; Histoire ; Technique et industrie
Thèmes des collections :
Antiquités étrangères : Grecques et romaines ; Archéologie nationale : Préhistoire, Protohistoire, Gallo-romain, Paléo-chrétien, Médiéval, Moderne ; Architecture et urbanisme (Maquettes) ; Art religieux (Mobilier d'églises d'Orange) ; Arts décoratifs : Céramique, Mobilier, Orfèvrerie, Verrerie ; Arts du spectacle : Théâtre et Opéra ; Beaux-Arts : Dessin, Peinture ; Collections militaires : Armes ; Ethnologie : Costume ; Histoire : Histoire locale et régionale
Historique des collections :
En 1819 se constitua une société d'agriculture, des sciences et des arts de l'arrondissement d'Orange, dont une des figures les plus marquantes fut le baron de Stassart, sous-préfet d'Orange. Outre les livres anciens et les archives qu'elle sauva, cette société accumula un véritable capharnaüm d'objets, microcosme des connaissances humaines. Cette collection fut à l'origine des archives, de la bibliothèque et du musée de la ville. L'attention portée au passé orangeois excita la convoitise de certains qui pillèrent les nécropoles de la ville et des sites gallo-romains. Ils s'approprièrent alors les découverte fortuites, rachetées par des amateurs (Roger Vallentin du Cheylard, Raspail, Charras, Digonnet, Lombart-Dumas) ou même par des musées, qui enrichirent ainsi leurs collections (musée des Antiquités nationales, musée Calvet d'Avignon, musées archéologiques de Nîmes et de Genève, British Museum). Un archéologue lyonnais, François Artaud, tenta d'arrêter cette hémorragie du patrimoine. Il légua sa maison et ses collections à la municipalité afin d'en constituer un musée. Mais ses collections furent dispersée. En 1933, la ville d'Orange consacra deux salles à son passé prestigieux, dans l'hôtel de Drevon. Rassemblant des collections fragmentaires, ce musée s'enrichit de la donation Belleroche (1940 et 1957), des cadastres romains (1950), de la collection Gasparin et des toiles des Wetter (1965), de la collection Margaillan, de la pharmacie de l'hôpital d'Orange et d'une collection d'art sacré depuis 1979.
Atouts majeurs :
Les collections archéologiques proviennent de multiples fouilles d'Orange : à côté d'objets de la vie quotidienne, la pièce la plus intéressante est représentée par trois cadastres gravés sur marbre sur ordre de l'empereur Vespasien qui révèlent l'organisation foncière de la colonie antique. De nombreux fragments architecturaux et de statuaires proviennent du décor du mur de scène du théâtre, entre autre un ensemble exceptionnel de frises
Du Moyen Age au XVIIe siècle, est évoqué le passé de la principauté d'Orange étroitement lié à la famille royale des Pays Bas
Cinq peintures représentent la vie d'une fabrique d'indiennes au XVIIe. Commandées en 1764 par les frères Wetter, patrons de la fabrique, à GM Rossetti, elles décoraient le salon de leur demeure
Le XIXe est illustré par des gravures montrant le dégagement et la restauration du théâtre et de l'arc et par la collection Gasparin, famille orangeoise dont furent issus plusieurs hommes politiques
Fonds de peintures de Franck Brangwyn et d'Albert de Belleroche
Artistes :
F. Brangwyn, A. de Belleroche
Services :
Bibliothèque ou centre de documentation ouvert au public ; photothèque
Activités culturelles :
Visites guidées : générales, thématiques, enfants, en langues étrangères
Accueil des scolaires : visites, ateliers, classes culturelles
Crédits : Museofile
