Hommage à Germaine Richier (1902-1959), première sculptrice exposée au Musée national d’art moderne en 1956.

Riche de près de 200 œuvres – sculptures, gravures, dessins et peintures –, l’exposition retrace chronologiquement sa trajectoire artistique et éclaire les grands thèmes qui nourrissent sa pratique sculpturale (l’humain, l’animal, les mythes…) Formée à la tradition d’Auguste Rodin et d’Antoine Bourdelle, Germaine Richier s’affirme comme profondément originale et radicale en à peine plus de 25 ans, des années 1930 à sa disparition précoce en 1959 : un chaînon entre Rodin et le premier César dans l’histoire de la sculpture moderne.